Créer, c’est accepter le mini chaos.
Des idées incertaines, des débuts flous, des essais qui tournent parfois en rond. Mais comme le disait Bob Ross : “Il n’y a pas d’erreurs. Juste des accidents heureux.”
On est tous des works in progress. Des versions incomplètes, mais en mouvement. En plein dans notre hot mess era, entre fulgurances, doutes, et petites victoires qu’on ne remarque pas toujours.
Comme le dit ce vieux cliché qu’on finit par comprendre : Ce n’est pas la destination, c’est le chemin qui compte.
Et parfois, la vie insiste. Elle place les bonnes erreurs, les bons détours, au bon moment. Juste assez pour nous remettre en route.
Rien n’arrive pour rien. Les erreurs font les meilleurs détours. Et oui — la chance sourit à ceux qui osent se tromper.
Avec cette campagne, on avait envie de revenir à quelque chose de plus vrai, plus brut.
Dans un monde où tout doit être planifié, optimisé, performant, on oublie que la vie — comme la création — n’est jamais un processus linéaire. Derrière chaque bonne idée, il y a souvent des détours, des doutes, des essais qu’on croyait ratés. Et c’est exactement ce qu’on a voulu mettre en lumière avec Essai Erreur.
Plutôt que de tout vouloir contrôler, on a choisi de faire confiance au mouvement, à ce qui échappe au plan. Parce que parfois, ce qu’on appelle une erreur, c’est simplement une autre direction. Une bifurcation imprévue, qui finit par faire du sens.
Et quand on doute, la vie trouve parfois une façon subtile de répondre — un petit truc qui s’aligne, comme pour dire qu’on n’est peut-être pas si loin du bon chemin.
Visuellement, on s’est inspiré de l’univers des années 70 — une époque d’expérimentation, de remise en question, de spontanéité. Il y avait alors un vrai espace pour l’émotion, le fait main, l’authentique.
On a voulu traduire cette sensibilité jusque dans les pièces elles-mêmes : plusieurs items de la collection sont faits entièrement à la main, dans une logique de lenteur, de soin, de respect du processus.
Pour donner vie à cet esprit, on a collaboré avec Human Egg, artiste multidisciplinaire basé à Québec, qui puise justement dans cette décennie une grande partie de son univers visuel. Son approche touche-à-tout, instinctive, souvent guidée par l’intuition, s’inscrit parfaitement dans cette idée : que créer, c’est souvent tester, rater, recommencer.
Avec cette campagne, on avait envie de revenir à quelque chose de plus vrai, plus brut.
Dans un monde où tout doit être planifié, optimisé, performant, on oublie que la vie — comme la création — n’est jamais un processus linéaire. Derrière chaque bonne idée, il y a souvent des détours, des doutes, des essais qu’on croyait ratés. Et c’est exactement ce qu’on a voulu mettre en lumière avec Essai Erreur.
Plutôt que de tout vouloir contrôler, on a choisi de faire confiance au mouvement, à ce qui échappe au plan. Parce que parfois, ce qu’on appelle une erreur, c’est simplement une autre direction. Une bifurcation imprévue, qui finit par faire du sens.
Et quand on doute, la vie trouve parfois une façon subtile de répondre — un petit truc qui s’aligne, comme pour dire qu’on n’est peut-être pas si loin du bon chemin.
Visuellement, on s’est inspiré de l’univers des années 70 — une époque d’expérimentation, de remise en question, de spontanéité. Il y avait alors un vrai espace pour l’émotion, le fait main, l’authentique.
On a voulu traduire cette sensibilité jusque dans les pièces elles-mêmes : plusieurs items de la collection sont faits entièrement à la main, dans une logique de lenteur, de soin, de respect du processus.
Pour donner vie à cet esprit, on a collaboré avec Human Egg, artiste multidisciplinaire basé à Québec, qui puise justement dans cette décennie une grande partie de son univers visuel. Son approche touche-à-tout, instinctive, souvent guidée par l’intuition, s’inscrit parfaitement dans cette idée : que créer, c’est souvent tester, rater, recommencer.
Avec Essai Erreur, on veut simplement rappeler que personne n’a de plan parfait. Que créer, entreprendre, avancer — ça vient forcément avec des faux départs, des bifurcations, des doutes. Et que c’est souvent là que les choses importantes se passent.
On est une jeune entreprise. Les essais et les erreurs, on les vit au quotidien. Et on pense que c’est sain.
crédits
- Conceptualisation: Laura Mathieu-Lavallée
- Réalisation, montage et coloration: Michael Berlangieri
- Direction artistique: Michael Berlangieri / Laura Mathieu-Lavallée
- DOP: William Leroux
- Photographie: Lam Dam
- Stylisme: Laura Mathieu-Lavallée / Zoé Plourde
- Mannequins/acteurs: Jade Lévesque / Maxence Garneau